Ah qui n’a pas cédé à cet enseigne aux odeurs enivrantes qui nous appelle de loin, et qui adore notre portefeuille (trop d’ailleurs).
Bienvenue dans mon univers.
Ah qui n’a pas cédé à cet enseigne aux odeurs enivrantes qui nous appelle de loin, et qui adore notre portefeuille (trop d’ailleurs).